Le
moulin des supplices |
Georgio FERRONI |
(12) |
Le décor du moulin offre de belles perspectives,
le mystère est opaque, le réalisateur convenu mais motivé
par cette ambiance pluvieuse. Alors on se laisse mené dans les
méandres de ce moulin plein de fantômes poussièreux,
de remords un peu poussifs, de ponctifs réjouissants, d’allucinations,
de dialogues guère subtiles. Ce film possède la qualité
de jongler avec le fantastique et le réalisme (toutes proportions
gardées). Surprenant pour un petit film italien. Jusqu’à
la fin. |