La
morte-vivante |
(4) |
Sacré J. Rollin ! Il fémininise le genre
pour taper dans le Z le plus extrême, sa réalisation figée
ou branlante en témoigne, le gore gerbeux et mal fichu (Lestang
? ? !), ses obsessions sexuelles, ses scénarios au minimum syndical
agrémentés d’acteurs rigolos. Mais cette fois on a
l’impression qu’il se prend au sérieux (une ébauche
homéopatique de psycho post-mortem, le film fonctionne quelques
minutes…). Mais pas d’affolement : c’est bien du Z,
ça prend vite la tête, même si, dans le néant,
une lumière, un petit flash éclaire le personnage de remords
et de question. Avec un minimum d’effort. |