Monkeybone |
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Un peu artificiel tout ça, bien que l’idée
ait le mérite d’exister (une nouvelle vision de la mort par
les cauchemars). Il y a plein de clins d’oeil aussi divers que fous
et plutôt adulte pour une comédie nunuche. Mais la structure
est molle : l’histoire d’un homme qui lutte contre la mort,
dans des décors et des costumes immenses et d’une laideurs
rares, couplé à celle d’un singe de BD qui investit
le corps de son créateur. Mélange carrément indigeste
et plutôt bête... indigne de Selick en tout cas. |