Miracle
sur la 8ème rue |
Matthew ROBBINS |
(4) |
Des petits vieux aidés par des E.T., ça
vous rappelle rien ? Outre cette ambarrassante référence
le film souffre de 3 défauts majeurs : un manichéisme mielleux,
une histoire vraiment ronflante et un esthétisme passe-partout.
Ce qui fait beaucoup pour 1 h 40 de film. Un insuccès mérité.
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