La
mandragore |
Arthur Maria RABENALT |
(10-11) |
Aucuns décors n’est mis en valeur et d’une
façon générale la réalisation n’est
pas une pièce maitresse, le scénario, science-fictionnel
à l’époque, soulève des questions, entretien
une légende sans jamais l’appronfondir, oubliant ses personnages
secondaires, n’évitant pas les maladresses. Seule la personnalité
révélée de Mandragore au fur et à mesure du
récit est digne d’intérêt : une réflexion
sur la beauté et la génétique ( !). Un film qui se
bonifie sur la durée, un thème mal exploité. |