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Maléfices

Carl SCHENKEL
(1-2)

Pourquoi m'emmerderais-je à critiquer un film où le réalisateur ne s’est jamais préoccupé de faire quelque chose d’à peu près bien pour masquer son incapacité, un film où le scénario devrait être soumis à la puce anti-bêtise, anti-ratage, anti-« j –prends-les-spectateurs-pour-des-crétins ». Et bien… pourquoi, hein, pourquoi ? ?