La
maison des damnés |
(8-9) |
Ce produit bien léché joue, dans un premier
temps, la carte du rationnalisme et du réalisme visuel et scénaristique
(enfin on l’imagine). La réalisation est d’un très
haut niveau tout comme la bande son ; Pourtant tout n’est pas parfait
car, justement, on ne croit pas toujours en cette série B, très
50’s et remake assez pauvre : l’incursion de la machine, le
final simpliste et vite expédié ou les explications modestes
sont bien loin du classique de Wise. Il
n’est qu’à la hauteur de nos maigre espérances.
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