Les
mains d'Orlac |
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Une première partie expédiée vite
fait pour en arriver à un brossage de portrait psychologique soutenu
par une musique jazzy des plus inappropriée. Hélas le portrait
vire au barbouillage hors propos avec cette histoire de voleur, greffée
et sans intérêt (qu’en est-il du livre ?). Plus de
docteur, plus de pendu, plus de mystère : à qui sont ces
mains ? Facile : il n’y a pas de cicatrices ! En réduisant
le fantastique à l’imagination du héros l’auteur
perd beaucoup. Quand au reste, on est dubitatif. |