Killer
barbies |
(8-9) |
Budget anémique, lumière bleue, hard rock
pas finaud mais qui pulse, quelques images gothiques vraiment superbes,
des nénettes à poil, de l’humour farfelu, du mauvais
goût et un goût prononcé pour le bizarre, du gore crade
à profusion et un scénario entre « Dracula »
et « Les yeux sans visage
». Une série Z qui oscille entre le pire et le meilleur mais
dont l’alchimie ne laisse pas indifférent… sa lenteur,
l’atmosphère nauséabonde qui s’en dégage.
Un des meilleurs Franco, sans aucun doute. |