Jusqu'au
bout du monde |
(13-14) |
Le film joue la carte de la SF hyper-réaliste,
du road-movie très musical (« Paris-Texas »), très
cosmopolitain, joliment mis en scène par un réalisateur
plein de douceur, aidé d’une photo accentuant sa personnalité.
Le sujet ? L’homme et la technologie. Les hommes qui se cherchent,
se trouvent, se perdent ; les distances mondiales se transformant en une
seconde de film, ou de rêve. Alors où est le problème
? Un peu long sans doute, répétitif, pompeux. C’est
bon pour les yeux et l’intellect mais ça se traine un peu
tout en sachant rester envoutant, à l’image de la 2ème
partie, très cérébrale. |