Les
jeux sont faits |
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Deux victimes assassinées marchent jusqu’à
un paradis qui n’est autre que le monde où cohabitent vivants
et morts, indépendamment ; les morts parlent entre eux, comprennent,
comprennent qu’il est bon de vivre (l’existentialisme cher
au scénariste : J-P. Sartre)… et d’aimer. C’a
un air de Capra avec un an de retard mais
reste intéressant : et si l’on pouvait parachever nos vies
? |