L'invasion
des profanateurs |
(6-7) |
Entre la psychose communicative du 1er et l’horreur
esthétisante du dernier, une 2nde mouture un peu trop monocorde,
trop silencieuse, un réalisateur peu impliqué par rapport
à son sujet et trop concentré sur ses personnages principaux
pour engendrer la peur et la paranoïa. Ajoutons certaines lourdeurs
scénaristiques qui ne rattrapent pas les rares effets et vous obtenez
un film franchement plat. |