L'indien
du placard |
(6-7) |
Une exploitation entre « Toy
story » et « Chérie…
», tout est expédié dans les 20 premières minutes
: l’intérêt, les possiblités et l’excitation.
La soupe du rétrécissement nous est à nouveau servi…
tiède. Pourquoi ne pas exploiter la veine du rêve ? La culture
indienne ou les sentiments pro-indien ? Ici on préfère l’imaginaire
un peu plat, rectiligne. Question culture : l’habitat iroquois et
les signes… maigre. Un peu de bonne morale. Bref beaucoup de thèmes
qui auraient mérité un approfondissement, d’autres
qui s’éternisent inutilement. Gentil, un peu lourd, on aurait
préféré un scénar façon « Sauvez
Willy » : pour les enfants mais jamais ridicule, voir adulte. Oz
déçoit ses fans, il est même translucide. L’amérique
ne pansera pas sa blessure indienne (bon d'accord elle est pas toute seule...).
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