L'île
des âmes perdues |
Nicolaj ARCEL |
(6-7) |
Le défaut de ce film ? Le plus gros budget du
cinéma danois s'est laissé éblouir par le fric, comme
le font tous les cinéma émergeant sur la scène internationale.
Pas de risque, donc : scénario à gros sabots truffés
de dialogues et de situations grossières, personnages pré-ados
comme il en existe des colonies dans l'histoire du 7ème art et,
finallement, un sentiment de banalité dans cette histoire mélant
pourtant assez bien la magie et les fantômes, de façon même
parfois un rien épicée. Une oeuvrette familiale bien menée
avec quelques FX à regarder. |