L'homme
le plus dangereux du monde |
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Arguments plus fantaisistes que fantastiques (graines
de culture poussant sous tous les climats, implants émetteurs,
capteur cardio-psychologique…) ce film et un sous-James Bond, archétype
du film carré et très mal réalisé (l’auteur
a pondu les deux récents Quaterman et les plus mauvais épisodes
de la planète des singes). Ce film au pseudo ramifications scénaristiques,
au jargon risible, aux gadgets risibles, aux situation grotesques (on
ouvre la fenêtre pour parler au satellite !). Farfelu et idiot ce
joyeux bordel. Curieux. Quand à la discussion politique, elle sent
la poussière. |