L'homme
bicentenaire |
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L’ombre d’Asimov plane… le respect
dû par l’homme (le créateur) envers ses robots domestiques
renvoi à l’histoire de l’humanité. Alors : est-ce
une parabole sur la condition humaine ? Non : Colombus et son scénariste
plombe leur film de « tics » pour le rendre plus commercial
(raté !). Dommage car il subsiste des thèmes humanistes,
mal traités il est vrai (humour ringard, dialogues frèles,
bons sentiments un peu forcés…), mais qui auraient pu faire
un bon film s’il ne faisait pas que parsemer cette saga sans ampleur,
un peu fausse et finallemenent guère convaincante à force
d’être niaise. |