Histoire
de fantômes chinois 2 |
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Entre le Z américain (Cf. le monstre de l’Enfer
en papier maché), bioman et Cie (Cf. la créativité
des combats) et un film de Jackie Chan (Cf. l’humour niais plutôt
insupportable). Où sont donc les délires visuels ou scénaristiques,
les mondes à part issus d’une imagination basée sur
le patrimoine national, les effets novateurs, l’histoire d’amour
tout en tendresse ? Où sont la sensibilité, le dépaysement,
la beauté et le reste ? Ce film n’avance guère et
on est souvent proche des Tortues ninjas. Ca me rappelle un peu ce qui
est arrivé à la séquelle de « Vampire…
» : plus d’imagination, une niaiserie formidable, une exploitation
plate, plus japonaise (occidentalisée ?) que chinoise (Un peu de
Godzilla et Cie). Il ne reste que peu de chose de la magie originelle…
une belle musique, vers la fin un espoir, une réalisation moyenne.
Apre déception. |