Le
géant de Métropolis |
Umberto SCARPELLI |
(4) |
Accrochez-vous : un savant fou qui cherche l’homme
parfait (Franken…machin), un péplum (genre qui a généré
80% de navet), un prisonnier qui veut inciter les autres à se soulever
(Merci Mr Spartacus) et enfin, le savant a des ambitions sur le monde
et il a inventé des appareils saugrenus… Et puis ses décors
kitschs essayant de masquer le manque de moyen, des scènes pouffantes
de niaiserie, un scénario artificiel, un réalisateur essayant
de sauver les meubles sans grand talent, G. Mitchell qui ne doit rien
à Brando. Enfin : il y en a qui aime ses péplums matinés
de SF bon marché et vieillissante où les FX sont souvent
risibles. Y-en a qui aime… |