Le
fantôme de l'auberge |
Elijah MOSKINSKY |
(6-7) |
Tout commence à s’enchainer à grande
vitesse, le réalisateur se donne à fond (gros plans inquiétants
sur les visages, montage cut, photo bleue sale, caméra mobile détaillant
les scènes…) et la musique donne le ton simplement. Mais
le scénario est d’une banalité à faire pâlir
L. Bava. Avec des choses simples les auteurs
ont su construire un film intéressant… pour la télé
(les FX s’en ressentent) ! C’est même osé ! et
non dénué d’humour : simple et rectiligne mais plutôt
réussi. |