L'espion
qui venait du surgelé |
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Amateurs de second degré, d’énormités,
d’Austin Powers…bonsoir
! (Honte) à Bava d’avoir commis cette parodie de James Bond
où filles explosives, duo de débiles, méchants grotesques
à la conquète du monde, humour ahurissant, poupées
décoratives et ringardismes nous font oublier le soit-disant «
charme » de cette série trop proche du Z pour être
du… Mario Bava. Dans son sous-genre, c’est une réussite
presque drôle. |