Epidemic |
(8-9) |
Palme d’or de l’étrange, passé
le stade « pellicule » -on la croirait mal déceloppée-
trop lumineuse, passé les bizarreries du scénario (difficile
à suivre) ou du réalisateur (le titre incrusté, l’aspect
très nordique…) on obtient un film aux accents parfois drôles,
de beaux élans musicaux et, parfois, de belles images. Si l’intention
n’est pas fantastique (Cf. les dialogues aussi nombreux qu’ennuyeux)
le résultat laisse perplexe. C’est viscéral et assez
repoussant, décousu, entre Cassavetes
et Lynch ( ? ), pompeux, très long,
d’autant plus que ça peut être… bien. |