Dracula,
mort et heureux de l'être |
(6-7) |
Les gags de Mel Brooks… les gags de Mel…
entre bouillabaisse (genre « tarte à la crème »
ou humour répétitif… répété à
l’infini) et quelques traits de génie. On est en droit de
préféré les Z.A.Z.,
Brooks, lui, se fait vieux et en fait trop. Ses budgets sont étriqués
au niveau visuel (a contrario de « Frankenstein
Jr ») et ses références se limitent presque uniquement
au film de Coppola. Dommage, il y avait
de la matière première. Brooks oublie qu’un bon gag
doit rester court, percutant, en forme de clin d’œil…
comme celui du pieu dans le cœur. Sinon on a toujours l’impression
d’attendre le prochain… et il tarde parfois ; involontairement.
Léger et guère passionnant ; le signe d'une fin de carrière
? |