Dracula
et les femmes |
(6-7) |
Ca semble être toujours la même rengaine
(Il est mort ? Non : y-a des trous dans son cou…) et pourtant l’aspect
religieux est plus appuyé cette fois. Ca vire à la caricature
un peu couillonne, grossière et pas très bien fichue (réalisation,
photo, musique). Le coup de pompe aux fesses des cathos est plus rafraichissant
(Dracula éloigne les fidèles de l’église, un
curé devient son serviteur, le héros est athée) que
Dracula lui-même et cette ressucée de scénario. |