Après une première scène ubuesque (un conte Dracula tué par une roue de char !) on plonge dans une espèce de petit trip psyché des années 70, histoire de moderniser le mythe, lui donner un petit côté sexy ; d'ailleurs le seul grand intéret du film réside dans les décolletés plongeant de ses dames... C'est assez soigné derrière la caméra, mais loin de sortir du lot, mais vous savez ce que l'on dit : "Chassez le naturel et il revient au galop". Le scénario s'étire autour d'un pauvre C. Lee complètement décalé, une enquête fadasse, des personnages secondaires inexploités : long, linéaire, bavard, grimaçant et ennuyeux. Le film retombe fraichement sur ses pieds et nous on tombe des nues