Doppelganger |
(10-11) |
La griffe Nesher. Tout comme son « Time
bomb », l’idée de départ est digne d’une
grande série B, mais il y a des maladresses, de mauvais agencements
scénaristiques (problèmes parfois dûs à un
montage qui élague trop), des conventions vues et revues (la douche…).En
clair c’est un peu brouillon, très montagnes russes, pourtant
jamais niais ni rasoir, on s’y accroche grâce au mystère
qui entoure l’héroïne (double ou dédoublement
?) celle-là même dont le réalisateur sait exploiter
les charmes ; elle reste une actrice de seconde zone. La réalisation
est marquée par des efforts qualitatifs louables mais n’atteint
pas des sommets. Ambitieux jusque dans sa fin hésitante (double…et
dédoublement !), un peu lourde, aux effets gratuits mais superbe.
Inutilement complexe. |