Le
dentiste |
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Une fois de plus l’auteur écorche la bourgeoisie
(Cf. « Society »), propre sur
elle, mais pourrie à l’intérieur. Le film gravite
autour de deux peurs liée à 2 états : celle du dentiste
(l'horreur absolue pour certains !) et celle d’être cocu (l’érotisme,
avec des tendances très légères...) ; si le scénario
est parfois simplet et malhabile, le réalisateur essaie d’être
virtuose. Bref, tout ce petit monde a des choses à dire, des coups
de gueule à pousser et, en passionnés, nous plonge dans
la folie de ce docteur avec efficacité (oubliez Docteur
Rictus) et plaisir. Décapant. « Chute libre » version
trash et médical. |