Les
démoniaques |
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Appelons ce navet une série Z : acteurs trébuchants
à souhait, scénario vide mais rempli de femmes nues payées
au tarif syndical et de viols. C’est débile de A à
Z et de façon tout à fait volontaire. Bien que la poésie
chère à l’auteur essaie de faire place à une
étrangeté un brin gothique (l’île et ses habitants),
pas plus de 10 minutes quand même, ça reste un… navet.
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