Dans
la peau d'une blonde |
(8-9) |
Il y a un fort potentiel de sympathie, car l’idée
est excellente : la comédienne –un peu poussive- nous fait
sourire en découvrant de l’autre coté de la «
barrière » le monde des machos, des homophobes ; il y a un
élan discret d’érotisme, c’est pas trop gras,
trop cliché... mais ça va trop vite, ça se dilue,
on ne s’attache pas aux situations, le fil conducteur est mis de
coté et finallement on s’ennuyerait presque. |