Le
corps et le fouet |
(6-7) |
Un château hanté transalpin qui craque
des portes, ouvre fenêtres et abrite fantômes. Bava n’y
met pas plus d’enthousiasme, ou seulement de temps à autre.
Il s’essaie au romanesque, se plante, puis mêle épouvante
et sado-masochisme (osé à l’époque) : on est
pantois, ça lui va comme un gant. Lee se répète encore
et Bava, maniériste, souligne trop son jeu (éclairages –
zooms). Pas franchement bouleversant. |