Cool
world |
(6-7) |
Adieu provoc, Bakshi met un pied dans le réel
et l’interaction des deux mondes est tellement maigre et techniquement
pauvre que ça ne tient pas. Visuellement l’auteur est là,
influencé par Avery mais côté scénar, son œuvre
(dans le film live) passe mal le cap du réalisme, s'embourbant
en essayant de sortir d’un monde de fou, sans en tirer aucune sensation.
Pour l'aspect plus cartoon, ça délire grave, entre barje
et lubrique ; ni Disney, ni japonais. Presque séduit par la déconnade,
on est largué par l’histoire. |