Comme
chiens et chats |
Lawrence GUTTERMAN |
(3) |
Les effets sont spéciaux (ceux des chats un peu
foireux), c’est à peu près drôle une fois sur
quatre... le reste ressemble à... Beethoven (le film, hein ?) ;
c’est tout dire ! Tellement lamentable qu’on oublie l’idée
directrice du film, vite effacée par un scénario cousu de
fil blanc : pas une ligne de dialogues, pas une idée, pas un clin
d’oeil bien alignés et finallement l’histoire réchauffée
mais maquillée avec d’autres protagonistes, ça nous
fait bien c---r. |