Ces
garçons qui venaient du brésil |
(8-9) |
En attendant la révélation finale trois
sentiments nous envahissent : le plaisir d’un travail carré
par un réalisateur chevronné, la lenteur forcenée
et la naïveté, l’impression d’inachevement pour
bon nombre de choses ; justement le scénario et la réalisation.
Le trio d’acteurs oscille entre le formidable et l’auto-parodie.
Mais la découverte du pot-aux-roses constitue une bonne surprise,
soulevant la question pour le moins actuelle du clonage à des fins
politiques et idéologiques. Du boulot honorable quoi… |