The
cell |
(13-14) |
Génial qu’une grosse prod’ s’autorise
celà (images chocs –le pendu par la peau, le cheval- la personnalité
débordante du réalisateur). Un film de serial killer qui
se détache du lot (c’est rare !) grâce à cette
arrestation du coupable dans la 1ère demi-heure et la pénétration
de son univers mental ; voici le point fort du film : les costumes extraordinaires,
les décors et, surtout, les visions incroyables, reflet d’une
liberté visuelle totale, racontant la vie intérieure d’un
schyzophrène (le cheval en coupe qui nous rappelle une expo d’art,
les femmes poupées, sa vie d’enfant...). En prime : la musique
cauchemardesque de Shore. Le piment d’un suspens et d’un scénario
couru d’avance. |