Les
bacchantes |
(8-9) |
Plus original qu'un péplum herculéen ou
macistéen de base, il est question ici de Thèbes, ville
asséchée, de Dieux salvateurs et incarnés, de vin
magique et de magie, de sacrifices humains, de tonnerre bienveillant,
de sexy et mystérieuses créatures des grottes, d'appel à
l'orgie... Ne nous y trompons pas non plus : les décors sonnent
le creux, les lumières virent vite pastelles, les costumes sont
assez délirants, les dialogues branlants, la réalisation
technique et de nombreuses scènes n'évitent pas le ridicule.
Mais avec tant de rebondissements, aucune vraie linéarité,
nous voilà au-dessus du lot... |