Amityville
: dollhouse |
Steve WHITE |
(6-7) |
Ce 8ème épisode est très télévisuel…
c’est à dire extra-plat. Un film sur la famille ? Rien de
bien neuf. Un film de maison hanté ? Les fenêtres s’ouvrent…etc.
L’attente de chaque prochaine « horreur » est le moteur
de notre intérêt et, par là même, de l’histoire.
C’est maigre. Excepté un thème assez sexuel abordé.
Finalement moins horrifique que la moyenne, axé sur la cellule
familiale (le père zombi qui veut tuer le beau-père, mésentente
des enfants…) il tire sa petite épingle du jeu moins par
son originalité que par les voies scénaristiques empruntées.
Une soirée guère éprouvante. Tant pis. |