Alice
ou la dernière fugue |
(10-11) |
Au-delà de la véritable beauté
picturale de l’œuvre, c’est-à-dire les couleurs
passées des intérieurs, pastelles et baveuses de l’extérieur,
la lumière puissante contrastant avec les ténêbres
(dualité vie-mort) ; donc, au-delà de ceci, il y a un film
empreint de surréalisme très Bunuelien, une idée
très intéressante et assez originale,... un scénario
aux effets de surprise ratés. Kristel ne sait que donnée
vie à son corps, les autres acteurs sont peu convaincant. Bref
un bon film avec un arrière goût de simplisme, mais un Chabrol
au top grâce à sa réalisation emphatique, recherchée
et précise. |