Les robots, devenus indépendants grâce à leur I.A., ont perdu une bataille contre les humains et ont dû fuir la Terre. Cependant leur chef prévient : He will be back.
Atlas est un pur produit de recyclage dont on pourra s'amuser à repérer les influences / similitudes tout au long du film (Terminator, Universal soldiers, Blade runner, Westworld, I robot, Aliens, Pacific rim, et tutti quanti), sur une trame ultra classique et ressérée, sans un code de finesse et même franchement nonsensique, soporifique quant à connaître le contenu et l'issue de la mission. Les FX sont glaciaux, on se croirait dans un jeu vidéo, pas du meilleur goût de surcroit. Ça remue beaucoup pour palier à la vacuité d'un scénario sans nuance.
Jlo en scientifique quinqua surmaquillée et bougonne (en mode "Del Spooner"), qui s'adapte un peu vite à son nouvel environnement, ne m'a jamais séduit. Rien ne vaut une Sigourney...
Entre séquences de combats hideuses et scènes dialoguées complètement bateaux (même les gags tombent à l'eau), Atlas rame beaucoup mais n'avance guère.
On garde l'idée de la synchronisation avec l'IA.